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Le 12/08/2014
deux belles épreuves à venir , à ne pas manquer .
Le 21 septembre à saint pierre
Le 28 septembre à la saline les bains
Le 26/07/2014
ce dimanche 20 juillet quelques triathlètes péï étaient sur l'étape du tour avec plus ou moins de réussite
Pau - Tourmalet - Hautacam
12OOO cyclistes au départ , 8450 à l'arrivée - 148 kms - 87 nationalités - un parcours mythique
4300m de dénivelé - une météo dantesque
marc NEMEC - Rémy SERVAUX - Nadine VIDOU étaient à l'arrivée .patrick GOUYETTE pris dans une chute a du plier bagage à 12 kms du final.
Le 10/07/2014
DAVID HAUSS – SURENTRAÎNEMENT ET FATIGUE
Il est rare que les triathlètes échappent aux problèmes de surentraînement et de fatigue passagère, surtout à haut niveau.
David HAUSS nous parle son expérience.
PROPOS RECUEILLIS PAR GAËTAN LEFEVRE
Fin mai 2014, David HAUSS est à l’hôpital pour l’opération d’une pubalgie. Un peu de temps libre qui lui a permis de répondre aux questions
de SantéSportMagazine.
Vous venez de vous faire opérer d’une pubalgie. Comment s’est-elle déclarée ?
À la fin du mois de mai, j’ai subi une opération pour une blessure que je traînais depuis un certains temps. Une sorte de déchirure intramusculaire
plus qu’une pubalgie, mais située dans la même région. Lors de mes deux dernières courses l’année dernière effectuées sur un sol mouillé, j’ai senti un
déséquilibre musculaire au niveau de la symphyse pubienne mais aucune douleur. Plus tard, suite à la participation au Grand raid de la Réunion
dans son petit format de 80 km, «la Mascareigne», la douleur s’est déclarée. Depuis ce moment, il n’y pas vraiment eu d’amélioration. J’ai pu effectuer une
préparation foncière intéressante tout l’hiver mais après sept à huit mois de gêne, la douleur empirait et j’ai décidé de m’en occuper sérieusement.
Quelle a été la prise en charge ?
En relation avec ma fédération, j’ai tout d’abord effectué un check-up complet des dents car ce type de blessure peut trouver réponse dans la bouche.
Après avoir fait le nécessaire, j’ai effectué une IRM pour véritablement diagnostiquer le mal récurrent. De retour en métropole à Saint-Raphaël, muni des résultats,
j’ai rencontré un spécialiste au CERS qui a décidé d’opérer rapidement.
Quand allez-vous pouvoir reprendre l’entraînement ?
Je vais devoir observer cinq à six semaines de convalescence. Début juillet, j’entamerai un programme de rééducation pour une reprise effective
trois semaines plus tard. En tout, deux mois seront nécessaires pour reprendre l’entraînement. Mais il me faudra surtout consolider les chaînes musculaires
défaillantes qui sont, semble-t-il, à l’origine de cette blessure.
Vous êtes-vous déjà retrouvé en situation de surentraînement ?
Non, je ne me suis jamais retrouvé en situation de surentraînement, mais en surmenage assez souvent ! Je crois que la différence est proche mais
tout de même assez éloignée dans le sens où avant d’en arriver à ce stade, il faut vraiment s’acharner à l’entraînement et ne pas écouter les signaux
envoyés par le corps. Malheureusement, cela arrive dans des sports comme les nôtres où le volume de travail est prépondérant. Les sensations ressenties
doivent permettre de déceler les premières fatigues anormales afin d’éviter toute chute durable des performances.
Comment cette fatigue a-t-il été détecté ?
En 2006, lors de ma préparation hivernale, j’avais enchaîné des stages un peu partout, à la Réunion, à Saint-Raphael, etc., avec une grosse envie de réussir.
Dès que la saison a commencé, je ne mettais plus un pied devant l’autre car j’étais trop fatigué mentalement et physiquement. J’ai dû stopper ma saison
dès le mois de juin après des tests médicaux désastreux.
Quels en sont les symptômes ?
Dans la pratique professionnelle d’un sport aérobie, les heures d’entraînement sont bien souvent le seul repère dont on tient compte pour évaluer si oui
ou non l’entraînement se passe bien. Alors, le but est de toujours faire plus d’heures que la semaine précédente et bien que très motivé pour progresser,
on tombe vite dans une charge de travail trop excessive et répétitive. Le sommeil devient mauvais et l’alimentation inadaptée. Pour ma part, j’étais devenu
léthargique, sans aucune énergie positive, ne réussissant plus à réagir à des choses ou situations de la vie quotidienne. Mon humeur n’était plus au beau fixe.
Mon rythme cardiaque ne montait plus à l’effort, par conséquent, mes performances n’étaient plus ce qu’elles avaient été.
Quelle a-t-été la prise en charge ?
Dès lors que le repos ne parvient plus à endiguer ces phases de fatigue passagère, il convient de se tourner vers un spécialiste qui sera en mesure d’effectuer
des tests, tel qu’une prise de sang ou d’autres examens appropriés. C’est par ce biais que l’on m’a décelé une mononucléose. J’étais bien content, à ce
moment-là, de trouver une explication à mes tourments !
Le 10/07/2014
En plein Tour de France , Eric publie sa carte de l'Ironman World tour
programme complet sur la page TOUR DU MONDE
:http://triathlon-reunion.e-monsite.com/blog/tour-du-monde.html
Le 29/06/2014
3 médailles de finisher de plus pour le famous group
Ludovic MEHEUST finisher en 10 h37
cedric BARENNES Finisher en 11h06
Frédéric MAGNIN Finisher en 11 h 37
Le 20/06/2014
Avec en supplément le programme complet de l'ironman de NICE
Le 20/06/2014
pas rassasié le Eric , après l'ironman du bresil ,il a enchainé par du
Le 12/06/14 21:55, Éric Brochier a écrit :
NOUS AVONS PEDALE, A MAREE BASSE, LE LONG DE L' OCEAN ATLANTIQUE;
vendredi 6 juin 2014
Avec Nazaréno, nous quittons en début d après midi l ile de Santa Catarina; (sud du Brésil)
Celle ci longue de 70 kms, est reliée au continent sud-américain par le fameux pont Hercilio Luz,
ressemblant à celui de San Francisco et d une distance de 1 km.
Direction l intérieur; quitter le trafic urbain.
Nous nous rendons au sitio de Naza. Sitio en portugais signifie cabanon ou ferme; en l occurrence celle-ci est installée
sur un terrain de 7500 km2, étroit mais long de prés de 2 kms avec une luxuriante végétation, la mata atlantica, une source
bienfaitrice, acheté il y a 8 ans 10000 eur.
Naza adore les animaux. En sa possession: 1 vache, 1 cheval, 4 brebis. Il donne a manger à ses bêtes pendant que
je prépare l omelette, avec les patates douces ramassées fièrement par le patron.
Température fraiche en cette fin d automne.
1ere étape: 42 kms.
samedi 7 juin
Pluie fine, direction le Sud;
Partis de 300m du sitio, nous franchissons un petit col a 890 m. Ici nait la riviére Capivari, nom donné par rapport aux genre de gros castors
d Amérique du Sud a la téte légèrement carrée. Elle file vers le Sud jusqu a Laguna, dans
l Océan.
Arrivons a Sao Bonifacio. Nuit calme prés des vestiaires fermés a clé. Vue panoramique sur le terrain de football.
2eme étape: 75 kms.
dimanche 8 juin
La pluie se renforce, et ce toute la journée.
Je panique avec mes freins, Naza n a pas ce probléme avec les siens, à disques. La piste longue de 42 kms est bien lisse, plus en descente.
Rejoignons l asphalte, passons a Armazem puis à Gravatal. Le terrain de football est détrempé. Il nous faut tout le traverser pour loger
dans nos vestiaires individuels, ouverts; la surprise ce sont les douches bien chaudes!!!
3eme étape: 76 kms.
lundi 9 juin
Nous nous dirigeons vers le phare de Santa Marta; Lieu important pour les navigateurs non avertis.
Les plages sont superbes. Dégustons "l anchova", poisson péché du jour avec les grands filets. Ce festin nous change du buffet a volonté
du midi, tarifié toujours entre 4 et 5 euros maximum.
Le soir, Rogger ami de Naza nous offre l hospitalité. Le canard va bon train dans la marmite.
4eme étape: 75 kms.
mardi 10 juin
Traversons avec le bac, entre l isthme de Santa Marta et la ville de Laguna. Ici plusieurs lagunes d eau salée abritent les fameuses crevettes,
appelées ici camarão, un délice!!!
Dommage, le brouillard persévére jusqu a midi. Nous pédalons à marée basse, le long de l Océan Atlantique, c est magique.
Traversons 5 ou 6 plages dont l une d elles longue de 14 kms sans aucune construction. Visitons la fameuse "praia da Rosa", fameuse pour la visite
des baleines franches durant l hiver austral et classée parmi les plus belles plages du Brésil.
Nuit au camping, 4 clients; Au menu: soupe chinoise, œufs, fromage local
5eme étape: 89 kms
mercredi 11 juin
Soleil toujours dominant.
Naza, ravi par le passage des superbes plages, s entéte à emprunter celle de Gamboa, malgré l avis contraire des pécheurs locaux. Mais la petitesse
de celle ci et la marée étant plus haute nous oblige malheureusement à faire demi tour. Nous retrouvons notre bon vieux bitume, la circulation sur la
BR 101 et le trafic des centre villes, afin de retrouver notre ile de Santa Catarina.
6eme étape: 88 kms.
Magnifique périple à l intérieur et au bord de l Océan, accueil toujours chaleureux et incommensurable de la gente brésilienne.
Eric B